Le principal animateur de la formation des statisticiens, l’instructeur camerounais de la FIVB, Atangana Awona Guy René a déclaré ce qui suit :.
‘’Je voudrais dire merci à tout le comité de la Févoco qui m’a réservé un accueil le plus chaleureux, à la question de savoir pourquoi je suis là, c’est par l’invitation de M. Christian Matata, président de la Févoco qui a souhaité qu’il y ait un nouveau départ du volley-ball congolais. Et il a pu obtenir un outil important dans la quête de la performance qui s’appelle le ‘’DATA Volley-ball’’. Et dont moi qui suit expérimenté dans le domaine de l’utilisation de cet outil, suis arrivé pour mettre en route 20 congolais afin qu’ils puissent maitriser l’utilisation de cet outil qui, à coup sûr va permettre au volley-ball congolais de démarrer.
C’est un outil d’analyse du volley-ball. C’est le meilleur outil d’analyse des performances de volley-ball et c’est un outil qui est utilisé par les meilleures nations de volley-ball. Il permet de collectionner des données et de les mettre ensemble avec la vidéo pour permettre aux utilisateurs de mieux comprendre ce qui se passe avec leur propre équipe et éventuellement avec les adversaires.
Voilà ce qui constitue la quintessence de ce que vous devez savoir par rapport à DATA Volley-ball. Les séminaristes doivent avoir leur tête et en plus un ordinateur tout simplement. Nous allons faire 4 jours de formation accélérée. Tous les matins nous aurons 4 heures des cours théoriques et les après-midi nous aurons 4 heures de cours pratiques. Ça fait 8 heures/jour pendant 5 jours. Moi j’ai appris à utilizer cet outil en 2 jours. Aujourd’hui, on a 5 jours avec les congolais, je pense qu’au sortir de 5 jours, ils seront en mesure d’utiliser cet outil avec beaucoup d’efficacité.
Je souhaite à tous les séminaristes d’être là et de passer un bon séjour avec nous dans ce séminaire et surtout de se mettre en tête que la Févoco a fait pour eux quelque chose d’exceptionnelle de pouvoir leur donner la formation comme ça se passe à travers le monde entier’’
. Antoine Bolia