Le capitaine de l’équipe du Maroc, Achraf Hakimi, s’est mouillé par rapport à la CAN 2025 prévue au pays entre la fin d’année et début 2026.
En marge de son nouveau partenariat avec l’équipementier Under Armour, Achraf Hakimi s’est livré sur plusieurs sujets. De son changement de dimension cette saison à la Coupe du monde 2030 au pays et conjointement avec l’Espagne et le Portugal, en passant par sa progression sous l’entraîneur Luis Enrique au PSG.
« On ne pense qu’à gagner »
Pour les soins de Foot Mercato, le capitaine des Lions de l’Atlas (83 sélections, 10 buts) a également fait part de l’objectif de l’équipe nationale pour la prochaine CAN 2025 qui se déroulera au pays du 21 décembre prochain au 18 janvier 2026 : le titre, rien que le titre !
« On ne pense qu’à la gagner, pour dire la vérité. On joue à la maison, chez nous, avec nos supporters. On est prêt pour ça. Je pense que pour gagner cette CAN, on ne doit penser qu’au fait qu’on va le faire. C’est ça l’objectif, l’unique chose en tête, c’est : gagner, gagner, gagner. »
Le Maroc a été sacré champion d’Afrique à une seule reprise, en 1976, et terminé finaliste une seule fois, en 2004 avec les Marouane Chamakh et… Walid Regragui, l’actuel sélectionneur. En 1988, les Rouge et Vert avaient déjà accueilli le tournoi sur leur sol, pour une première dans l’histoire. Battus par l’Algérie dans le match pour la troisième place, ils avaient fini quatrièmes.
🚨🇲🇦 À l’occasion de son partenariat avec Under Armour, Achraf Hakimi a répondu à quelques questions sur le PSG mais aussi le Maroc.
Un statut de favori, une motivation décuplée, la métamorphose sous Luis Enrique… ⬇️
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— Hanif Ben Berkane (@HanifBerkane) April 4, 2025
Hakimi assume le statut de favori
Cette fois, Hakimi et les siens entendent aller jusqu’au bout. Questionné sur leur statut de favori, le joueur de 26 ans ne s’y est pas dérobé, loin s’en faut. Il a d’ailleurs convié ses équipiers à marcher dans son sillage.
« On doit prendre cette responsabilité. C’est vrai qu’on joue à la maison, c’est une responsabilité, mais positive. On joue avec le soutien des supporters. Dans une CAN, il y a toujours des moments difficiles, des matches compliqués. Et dans ces moments-là, on aura besoin des supporters. Et à la maison, quand tu es dans le moment où tu penses ne pas pouvoir donner plus, quand tu entends la personne à côté de toi crier pour toi, tu vas trouver la force de donner plus. C’est bien de prendre cette responsabilité. C’est important d’assumer les choses. »