L’ancien entraîneur du Real Madrid, José Mourinho, a
retrouvé certains journalistes espagnols à l’occasion du match face
à l’Athletic Club.
José Mourinho est un entraîneur mais aussi un personnage à part.
Le Portugais se fait rarement oublier là où il est passé, que ce
soit pour laisser une marque positive comme négative, d’ailleurs. À
Madrid, son histoire s’est terminée dans le chaos avec la presse et
son vestiaire à dos, mais personne n’oublie cet héritage qui a
permis de redresser un Real Madrid en bien mauvaise posture à
l’époque.
Cette semaine, il a d’ailleurs eu l’occasion de croiser de
nouveau la route d’une équipe espagnole et donc certains de ses
journalistes. En avant match, il a lâché une petite phrase qui a
suscité le débat, une fois de plus en Espagne. « Les gens parlent
tous de Lamine Yamal, Yamal, Yamal… C’est évidemment un garçon
merveilleux mais personnellement, je préfère Nico Williams », a-t-il
lancé.
Puis il a exprimé une volonté. « C’est un joueur fantastique pour
moi et j’espère qu’il (Nico Williams) va finir en blanc parce qu’en
Espagne, je suis blanc (ndlr : pour le Real Madrid) », a-t-il ajouté
mardi avant de se reprendre après la rencontre.
👀🇪🇸 José Mourinho: “In the Euros, people
were all saying Yamal, Yamal, Yamal…”.“He’s a wonderful boy, but I, personally, prefer more of Nico
Williams”.“I hope he ends up at Real Madrid”, told Cope. pic.twitter.com/bXQsrWgimH
— Fabrizio Romano (@FabrizioRomano)
December 10, 2024
Mourinho fait marche arrière
« J’adore Nico Williams et quand je l’ai habillé en blanc, je ne
me suis pas rappelé que le Real Madrid avait déjà Vinicius Junior.
J’ai dit ça parce que je suis pour le Real et que je pense de cette
manière », s’est-il repris.
Aussi, il a été interrogé sur un éventuel retour sur le banc du
Real Madrid. « Revenir ? Ils ont le meilleur entraîneur du monde qui
est mon ami Carlo Ancelotti. Il fait du très bon travail. L’avenir
dépend ensuite de Florentino Perez, de s’il préfère un coach avec
une progression comme Xabi Alonso ou alors continuer sur la même
lancée avec un entraîneur expérimenté ou encore se pencher vers
quelqu’un de la Cantera (Raúl ou Arbeloa) », a conclu le Special
One.