Le Real Madrid affrontait aujourd’hui Barcelone en
finale de la Supercoupe d’Espagne. Voici les notes attribuées par
notre rédaction aux Madrilènes.
Courtois : 4 – Il avait commencé le match en
réalisant deux incroyables parades. Il en a pris 5 ensuite,
abandonné par sa défense.
Vazquez : 0 – Il n’est définitivement pas au
niveau pour être titulaire au Real Madrid. Un point faible
constant.
Tchouaméni : 0 – Le Français a pris l’eau comme
tout le monde. Il est bien trop souvent mal aligné et mal
positionné. Il dépanne mais ce n’est pas son poste. Replacé au
milieu, il a pris un jaune aussitôt pour un tacle en retard.
Rüdiger : 0 – Son cerveau déconnecte de plus en
plus ces dernières semaines. Il a été incapable de contrôler
correctement Lewandowski.
Mendy : 0 – Il est allé cueillir des fraises
sur le premier but de Lamine Yamal.
Camavinga : 0 – Il était le meilleur en
première période au Bernabéu en octobre dernier… il fut l’un si
ce n’est le pire aujourd’hui. Le Français était complètement à côté
de ses pompes, totalement absent sur le plan défensif et le penalty
offert au Barça en est l’illustration.
Valverde : 2 – L’engagement habituel, les
replis défensifs habituels. C’est dans l’utilisation du ballon que
l’Uruguayen n’a pas du tout été dedans ce soir.
Bellingham : 1 – Un point pour sa récupération
et sa passe en deuxième période qui lance Kylian Mbappé. Il a été
totalement dépassé pour le reste.
Vinicius : 1 – Il gratte un bon ballon puis
sert bien Mbappé sur l’ouverture du score. Il s’est ensuite
totalement éteint. Début d’année compliqué pour le Brésilien.
⭐️ Mbappé : 6 – Il n’a pas eu
grand chose à se mettre sous la dent mais il a fait la différence.
Il a ouvert le score et a été de loin le plus dangereux devant,
avec Rodrygo.
Rodrygo : 3 – Il a inscrit un sublime
coup-franc, il a le mérite d’avoir tenté des choses… Mais il est
aussi coupable sur le 4e but du Barça juste avant la pause.
Ancelotti : 0 – Un coach qui transmet sa peur à
son équipe. Aucune volonté de JOUER, aucune volonté de CONTRÔLER.
Le plan était uniquement d’avancer en transition. Puis on a vu
aussi à quel point, face à un bloc bas, son équipe reste sans
solution. Le manque de travail collectif s’est fait ressentir.